Aux côtés de Delphine Bürkli, nous avons lancé ce jour, devant l’Assemblée nationale, un appel au nom du Comité international de libération de Boualem Sansal à l’ensemble des maires de France.
Boualem Sansal, grand écrivain algérien, penseur libre et courageux, est aujourd’hui arbitrairement emprisonné en Algérie. Son seul « crime » : ses prises de position en faveur de la liberté, de la démocratie et des droits humains.
Nous appelons solennellement chaque maire de France à afficher le portrait de Boualem Sansal dans sa mairie, en signe de solidarité et pour exiger sa libération immédiate. Ce geste simple mais fort a déjà marqué d’autres combats pour la liberté. Il peut, à nouveau, réveiller les consciences.
Je remercie les élus, les intellectuels et les responsables engagés dans ce combat – notamment au sein d’Union Capitale, de la Revue Politique et Parlementaire, ainsi que les nombreux soutiens présents lors de ce rassemblement.
Il est de notre devoir, en tant qu’élus de la République, de nous tenir aux côtés de celles et ceux qui défendent la liberté au péril de leur vie.