Sous couvert d’adapter l’urbanisme de demain aux défis du changement climatique dans le cadre du futur Plan Local d’Urbanisme (PLU), la Mairie de Paris s’en prend à la propriété privée sans coup férir.

En l’état, dans la capitale, de nombreux propriétaires de bureaux, de services, de congrégations, pourraient bientôt être contraints de construire des logements sociaux, si l’envie leur prenait de programmer une rénovation ou une réhabilitation ou simplement de vendre leur bien.

Mais quelle mouche a piqué Anne Hidalgo et ses alliés communistes ? Si ce n’est cette perpétuelle politique du chiffre en matière de logement social, désormais financée sur le dos des contribuables, illustrée par l’annonce en novembre dernier de l’adjoint à la Maire en charge du logement : Paris comptera 40% de logements publics, dont 30% de logement social et 10% de logements intermédiaires à l’horizon 2035.

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