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Elargissement de la Zone à Faibles émissions

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La Métropole du Grand Paris doit répondre à une urgence sanitaire et climatique. Selon le rapport d’Airparif de mars 2018, les seuils réglementaires et les recommandations de l’OMS en matière de qualité de l’air sont régulièrement dépassés. L’agence Santé Publique France estime que 6 600 décès prématurés par an pourraient être évités sur le territoire de la Métropole. 

La Métropole du Grand Paris a validé une stratégie avec le Plan Climat Air Energie Métropolitain adopté définitivement par le Conseil métropolitain du 12 novembre 2018. La reconquête de la qualité de l’air y figure parmi les priorités

Pour y parvenir, la mise en place d’une zone à faibles émissions (ZFE) métropolitaine a été évaluée dans le cadre du Plan de Protection de l’Atmosphère Île-de-France comme ayant l’impact le plus important, avec des effets rapides sur l’amélioration de la qualité de l’air. Cela a été confirmé en 2018 par l’Observatoire Régional de la Santé (ORS-IdF). 

Cette mesure ne vise pas à faire de la Métropole du Grand Paris une zone sans voiture mais à accélérer le renouvellement du parc de véhicules, en complément du dispositif d’aides financières actuellement en vigueur. Ses bénéfices s’étendent bien au-delà, en termes d’amélioration de la qualité de vie, d’attractivité du territoire et de réduction des nuisances sonores.

Merci aux 70 maires qui se sont engagés  dans la nouvelle étape de la Zone à Faibles Emissions à compter du 1er juin pour améliorer la qualité de l’air et améliorer le cadre de vie des métropolitains pour une écologie positive et progressive en accompagnant les ménages modestes et professionnels touchés par la crise.

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